Il est de ces ouvertures de sanctuaires libertaires dont on ne saurait cesser de se délecter. C’était le cas de Temple, l’été dernier, dont les portes bien gardés par les gourous de La Toilette, s’étaient ouvertes, le temps d’une nuit, à l’appareil de Victor Maître.
Il faisait chaud, il faisait doux, la techno résonnait fort, et les mains se parcouraient. Corps mélangés, coeurs ouverts à la moelle, poitrines tendues et nuques frémissantes, pour le plus grand plaisir de l’un des regards les plus passionnants de notre époque, celui de Victor Maître. C’était un 31 août comme un autre (ou pas), et l’été à Paris prenait fin pour certains, et un tout autre goût de fraîcheur pour ceux qui rentraient, près à dévorer l’année qui s’annonçait (ou pas). Temple π a été la libération de fin, ou du début, en attestent ces clichés incroyables. C’est beau, ça donne envie d’embrasser son prochain, et c’est tout ce qu’on attend d’une belle nuit de fête.












