On les retrouvait le vendredi 20 avril dernier à Garage. Sami et Anass. Aka WAHILI (à ne surtout pas confondre avec Mawimbi). Un set ensoleillé, punchy, rempli de bonne vibes. À la sueur communicative. Une soirée tremplin pour tout prouver au public parisien. Pas facile. Mais vu l’énergie de leur set, on ne doute pas de la réussite à venir du jeune duo.

Imaginé par la web-radio et chercheuse de pépites PWFM, en collaboration avec le club des quais de Seine, Garage, le Spring-Board Contest met en avant, et cela jusqu’au 21 juin, jour de finale et du début de l’été, 30 jeunes artistes en recherche de visibilité. Un mot d’ordre ? La musique électronique. Des tendances ? Techno, house, disco, macro. Une vibe ? Celle de l’énergie, de vibrations inédites et du renouveau.

Et parce qu’encore et toujours, Wahili a besoin de votes pour ce grand tremplin, on a décidé de leur demander un aperçu de leur univers énergique et coloré, puis de leur poser quelques questions.

Comment on en vient à la musique ?

Wahili : On a découvert la musique électronique en débarquant à Paris pour nos études supérieures, on a tout de suite accroché et de fil en aiguille on a fini par en venir à Wahili. Nos labels et soirées préférés ont formé notre style : Innervisions, Giegling, Correspondant ou encore Keinemusik.

Pourquoi ce nom de scène là, Wahili ?

On devait choisir la veille de notre première soirée en boîte, au Panic Room, et on a trouvé que ça sonnait africain et rythmé comme notre musique.

Le son Wahili, en trois mots ?

Exotique

Surprenante

Bagarreuse

L’artiste inspiration depuis toujours ?

Céline Dion. Our heart will go on <3

Faire la fête, ça représente quoi pour vous ?

Faire la fête c’est s’insérer dans un espace de liberté tourné vers la découverte musicale, chacun a ses raisons mais cela tournera toujours autour soit de l’expression personnelle soit de l’envie d’écouter un artiste ou un style de musique spécifique.

Votre rôle dans la nuit ?

Je pense qu’on est généralement les deux mecs dans un coin de la salle qui discutent du set du DJ pendant la soirée, quand on sort c’est généralement pour découvrir un artiste qu’on a écouté sur internet ou pour entendre ce qu’un de nos favoris a de nouveau à proposer.

À côté de çà ?

On a 24 ans et on étudie en école de commerce.

Votre plus grand rêve ?

On serait ravis de trouver une résidence dans un petit club, et partager nos trouvailles toutes les semaines, faire les warm-ups de plus grands artistes et faire partie d’un crew.