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PTGG#1 : ABRIBUS, pour écouter « de la jumpstyle en mp3 56kbps les soirs de pluie » – Heeboo

PTGG#1 : ABRIBUS, pour écouter « de la jumpstyle en mp3 56kbps les soirs de pluie »

PTGG - Avril 23, 2018

[MARSEILLE] PTGG pour Paris Ta Grosse Gueule. Parce que Paris n’a le monopole de rien, on a décidé d’aller jeter un oeil ailleurs, là où la fête est tout aussi bonne qu’ailleurs, voire parfois meilleure. Là où la jeunesse pourrait se mourir (lol), mais au lieu de ça, se bouge, entreprend, se risque, pour innover, surprendre, donner du love, de l’excitation, du plaisir et du fun. À l’image, à Marseille, des excités du collectif Provence Evolution Soccer, qui lancent vendredi 27 avril, leur propre soirée : Abribus. Ou de quoi t’abriter des merdes alentours.

C’est de la pure dégaine, de la frenchcore comme on adore, le rendez-vous idéal de ceux qui aiment quand ça cogne à un bpm indécent et quand les moteurs frissonnent, que les turbos s’échauffent. Abribus, pour « toutes ces âmes perdues qui n’ont que soif de pilonner la cité phocéenne de gros kicks de l’espace. » Vendredi, à l’occasion de la Abribus#01, Alex, Sasha et Antoine invitent les parisiens de Aamourocean, Mystic Voip, DJ Kod et Pes au Poste à Galène pour une nuit aux kicks magiques. Matraque dans la Madrague. T’es dans ta panique. Ça va être tarpin bien, viens !

Soirée : ABRIBUS

Collectif : Provence Evolution Soccer

Ville : Marseille

Qui ? Sasha Von Cohendy, Antoine Langlois et Alex Cendret

Lieu habituel de la soirée : Poste à Galène

Pourquoi ce nom ? L’abribus, c’est là où on se retrouve, qu’on vienne du village ou de banlieue, c’est là où on écoute de la jumpstyle en mp3 56kbps les soirs de pluie ou à 5 h du mat après la soirée en attendant notre bus, c’est là où la nostalgie, la mélancolie arrive, c’est aussi un abri parmi tant d’autres, donc potentiellement un lieu pour faire une teuf.

Comment la soirée est née ? Après avoir entendu des cris de douleur d’une civilisation ancestrale (des extraterrestres ?) venant de la colline de la Bonne Mère. Quand on a fait le lien entre les expériences moyenâgeuses et le vortex de Réformés-Canebière, on s’est dit qu’on allait mener l’enquête et tenter de communiquer avec l’au-delà et le parallèle par la musique.

On y boit quoi ? Vodka Vin Rouge – Pastagadavre

On y mange quoi ? Pizza chèvre-taz

On y écoute quel type de musique ? Rave All Styles

Quel BPM ? 999000

On y chante quel hymne ? Celui de l’OM

On y inviterait bien quelle égérie ? Paul Elstak, le vrai. Plus sérieusement, on inviterait bien le frapcore originator : le seul, l’unique, Evil Grimace.

On y danse quel type de danse ? Jumpstyle / Hakken / Shuffle / Changa Tuki

On y fait quoi comme jeux de mot ?

– RAJOUTE DE L’ECS-TAXI DANS CETTE BOUILLE HARD BASS
– PLUS HARD LA VIE
– ÇA C’EST LE BON PILON DE PROVENCE QUI COGNE DANS LE FOND

Un track qui la représente bien ? Marc Acardipane – I Like it Loud

On verrait bien la soirée dans quel film ? NEW KIDS TURBO

On y chope quel type de poisson ? Requin marteau et sardines frétillantes (cf : pour la bouille hard bass)

On y perd combien de kilos ? 13 kilos chaque fois qu’on dépasse 130 décibels plus de 13 minutes

On y fait la fête pourquoi ? Parce que Marseille a inventé la frenchcore, bim.

On ressemble à quoi après cette soirée ? A des anorexiques sortis de prison ferroviaire en manque d’amphet’

Le rêve de cette soirée ? Créer la deuxième éruption du volcan de la bonne mère pour en faire jaillir toutes ces âmes perdues qui n’ont que soif de pilonner la cité phocéenne de gros kicks de l’espace.

Adeline Journet

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