Le MOFO festival est aujourd’hui institution. Pas parce que c’est super cool d’assister à un festival de musique indé à Paris (aussi), mais surtout, parce que chaque année, et depuis quinze ans, l’équipe du MOFO offre à la citadelle parisienne, moultes découvertes et redécouvertes musicales, moultes émotions, moultes surprises, pour nourrir ou guérir gosiers assoiffés et tympans malmenés.
La quinzième du festival MOFO commence jeudi 24 janvier à Mains D’Œuvres, et se clôturera samedi 26 (ou dimanche, tout étant question de point de vue) d’un concert au même endroit, à une nuit de club MOFO à la copine Station-Gare des Mines. L’occasion pour nous de demander à la team du MOFO une livraison spéciale : celle de leurs huit coups de coeur de l’édition 2019. Tu sauras donc désormais, devant quel concert retrouver Loreen, Anaïs, Lois et Rémi… Play !
Loreen (administration)
Yossarians – Friends We Are
« Ce groupe de Manchester nous impressionne par l’énergie de son rock éthéré. Nous aussi on a envie de devenir amis avec eux. »
Lysistrata – The Thread
« Il se dit que leurs lives sont de véritables expériences sensorielles : de la sueur, des vibrations et du bruit. On a hâte. »
Anaïs (programmatrice)
Capelo (live au Meta)
Musique romantico-synthétique à la fois douce et dansante, derrière laquelle se cache ce mystérieux duo bruxellois.
Grand 8 x Terrenoire x Pabloïd
« Là-aussi beaucoup de mystère avec cette collaboration inédite qui se construit de jour en jour et dont un premier live naitra au MOFO. »
Loïs (production)
Domenique Dumont – Sans cesse, mon chéri
« Un morceau d’une mélancolie solaire, à l’image d’un album OVNI. Probablement le concert le plus planant de la programmation. »
Dopplereffekt – Superior Race
« Le rendez-vous est pris : le samedi 26 janvier, aux alentours de 23h, décollage immédiat pour la planète Detroit. Un duo d’anthologie qui promet un final sournois, hypnotique et explosif. De quoi se mettre en jambes avant l’after à La Station ! »
Rémi (relations presse)
World Brain – Make You Cry
« Le nouveau projet de Lucas, guitariste de Fenster. Un mix circa-pop de guitares et de synthés ultra cool, ultra chill et ultra connecté. J’imagine bien ce morceau dans une version 2.0 de l’épisode « San Junipero » de Black Mirror. Impatient de le voir en live ! »
Bear Bones, Lay Low – Lavande Apaisante
« Grosse séance d’hypnose en vue. Tu veux arrêter de fumer ? stopper ton addiction aux Mikado (les biscuits, pas le jeu) ? Bon, ce ne sera pas pour ce coup-ci mais son set risque de nous embarquer loin, très loin. Entre collages sonores et expérimentations électroniques. »