Chaque semaine, Heeboo te fait le débrief gif du weekend. Peacock Society, Electrobeach Festival ou simplement gros week-end au Pays-Basque, l’équipe a profité de la météo pour aller teuffer comme il se doit. Pas sûr que l’on assume tous le début de semaine, mais ça valait probablement le coup !
Lily
Samedi, j’ai fini dans le squat le plus fancy de Paris : Champs Libre, aka Berlin à Pantin. Je n’y avais pas mis les pieds depuis février et ai décidé, ce week-end, d’enfin y retourner. L’idée était de danser toute la nuit : défi relevé ! Onze heures de mouvement continu sur une techno indus’ et sombre, dans l’ombre, en compagnie des ravers du dimanche, des fana’ de l’after sans fin et de quelques rescapés du Berghain perdus dans la banlieue parisienne. Dans cet espace infernal, lutte contre ses démons et oubli du monde pour quelques heures de rêve dans une parfaite utopie. Le seul souci c’est qu’en quittant ce lieu merveilleux où tout est permis, dimanche à midi, le retour à la réalité fait TRÈS MAL le lundi.
Seb
Petit aller-retour à la Peacock mercredi soir avec une bande de copains déjantés. Function, Dax J et un gros back to back Len Faki & Rodhad annoncé : c’était sûr que ça allait cogner ! Mais malgré des jeux de lumières complètement dinguos, la Peacock ne m’a pas fait super kiffé cette année. Mon petit chouchou Len Faki ne s’est pas vraiment donné…
Aubry
Vivre le Peacock Festival de derrière un bar, c’est transporter des futs (beaucoup de futs), se battre avec le cashless, avec les clients qui ne comprennent pas le cashless, servir des centaines de litres de bière, avoir des frissons lorsque la foule hurle “Laurent” à la fin du set de Garnier, avoir des moments d’épuisement, puis d’euphorie, revivre son enfance devant Dj Shadow, assister aux balances de David August et rugir sur Maceo Plex. C’est motiver les équipes, voir le soleil qui pénètre la verrière au petit matin, c’est tout lâcher les vingt dernières minutes de Tale of Us en communion avec le public. C’est se dire que c’est dur, mais que c’est bien, parce qu’au final, c’est beaucoup, beaucoup d’amour et de communion autour de la musique électronique et que celle-ci, elle n’est pas comme toutes les histoires, elle finit toujours bien.
Victoria
L’été est bel et bien là. Petite escapade au Pays Basque pour se ressourcer et fuir la chaleur insoutenable parisienne. Une belle plage d’eau turquoise (et oui, l’Atlantique recèle de petits trésors), du soleil et des nanas (ma meilleure pote à la compote et moi) sans oublier la plancha et les piquillos saupoudrés de piment d’Espelette. Un chouette samedi soir dans un ancien garage Renault ré-agencé en buvette éphémère pour les plaisirs de tous. Voilà… Allez Muxu, comme on dit là-bas 😉
Max
Ce week-end, je n’avais pas le temps de niaiser. Direction Perpignan dès 3h du matin pour l’Electrobeach Festival : avec 70 000 personnes par jour, on peut dire que la teuf fut grande… et surtout très jolie. Avec des festivaliers d’une bonne humeur constante et des scènes à la puissance complètement démesurées, ces jours furent particulièrement éprouvants et démontrent également que soleil + l’alcool = hardcore. Heureusement, DJ Snake et Dillon Francis ont surpassé tous les Tiesto, Martin Garrix ou Hardwell à base de grandes basses absolument destructrices. La petite touche supplémentaire, c’est quand-même David Guetta qui nous a fait son “JE-VOUS-AIIIME”. On était très ému, oui, oui. :’)