La liberté. Le luxe de pouvoir se déshabiller, sans se faire emmerder. Les basses qui résonnent au rythme de poitrines qui se soulèvent lestement. Sans peur des regards, sans peur des jugements. La sueur qui coule en bonne compagnie, dans un local apprivoisé pour la nuit, pour quelques centaines seulement de danseurs agités. Bienvenue à la Myst, sous l’oeil de Victor Maître.
Berceau d’amour et de brutalité, la Myst est, depuis qu’elle a été lancée par Mélissa et Nicolas en mai 2017, un espèce de… rassemblement de démons en furie. Oui oui, pas pour rien qu’on y croise souvent le photographe Victor Maître, le pas vif et l’oeil rieur, l’appareil prêt à capter le moment, le geste, le regard à figer dans le marbre. Un marbre délicieusement souillé de fluides, fils d’amour tendus, liquides festifs. Myst, ou une minute et une seconde pour t’immerger dans l’antre d’une des soirées les plus déviantes de la capitale, et toi aussi, en ressortir déchaîné comme jamais.
À l’occasion de MYST 008 – Amour Digital, qui aura lieu demain samedi 15 février dans un lieu encore non dévoilé à Paris, voyage en terres « luxure, déca-danse et techno » de la dernière Myst de décembre, et c’est signé le master Victor Maître.