Certains ont l’ambition de tout écraser, d’autres la sagesse de simplement faire les choses avec le coeur, sans la prétention de se prendre pour quelqu’un d’autre. C’est ça qui caractérise la musique et le personnage de Zeltym : de la simplicité et des sets à l’extrême qualité. Un peu de cul, de l’excitation, et de la douceur. On adore ! Et PWFM aussi visiblement !

Imaginé par la web-radio et chercheuse de pépites PWFM, en collaboration avec le club des quais de Seine, Garage, le Spring-Board Contest met en avant, et cela jusqu’au 21 juin, jour de finale et du début de l’été, 30 jeunes artistes en recherche de visibilité. Un mot d’ordre ? La musique électronique. Des tendances ? Techno, house, disco, macro. Une vibe ? Celle de l’énergie, de vibrations inédites et du renouveau.

Tous les vendredis, en before de ta nuit, Garage se transforme en arrière-cour expérimentale de la nouvelle scène parisienne. On retrouvait Zeltym le vendredi 18 mai prochain, et il a encore besoin de votes pour la grande finale du 21 juin ! Pour le découvrir, il nous a concocté quasiment deux heures de musique, et a répondu à nos petites questions. Portrait !

Comment on en vient à la musique ?

En 2014 avec le premier Weather festival à Montreuil, les premières Marvellous et Peacock… Que de souvenirs… J’en profite pour avoir d’affectueuses pensées pour tous ceux avec qui j’ai passé autant de superbes et d’inoubliables moments. J’ai commencé à mixer sur des CDJ 800 pour quelques soirées entre amis, avec une grande majorité de sons techno. Et puis je me suis acheté une paire de XDJ 700 en octobre dernier pour pouvoir mixer et partager mes tracks favorites. Je ne cherche pas à produire mes propres sons. 

Pourquoi Zeltym ?

Zeltym, c’est tout simplement mon nom de famille dans un autre ordre. Cela sonne bien et ça ne veut dire dire de particulier.

Ta musique, en trois mots ?

Piquante, épique, mélancolique.

Pourquoi on fait autant la fête d’après toi ?

Pour travailler à faire perdurer perdurer l’utopie médiévale de la terre d’abondance, de Cocagne, où les gens ne se disputaient jamais, préférant faire la fête & être heureux.

Plus sérieusement, la liste est longue mais je garderai ces trois là :
Pour communier
Pour ne pas penser
Pour vivre

Ton rôle, dans la nuit ?


Le poto, plutôt bienveillant, qui danse sans arrêt

Et sinon ?

Je m’occupe de la communication d’une startup et je viens d’avoir mes 31 ans il y a peu de temps.

Ton plus grand rêve ?

Mixer lors d’un coucher de soleil dans une superbe villa avec tout ceux avec qui j’ai déjà dansé (sourire)